Paroles: Henri Contet. Musique: Marguerite Monnot 1946
Adieu mon cour. On te jette au malheur. Tu n'auras pas mes yeux. Pour mourir... Adieu mon cour. Les échos du bonheur Font tes chants tristes. Autant qu'un repentir.
Autrefois tu respirais le soleil d'or. Tu marchais sur des tresors. On était vagabonds. On aimait les chansons. Ç'a fini dans les prisons.
Adieu mon cour. On te jette au malheur. Tu n'auras pas mes yeux. Pour mourir... Adieu mon cour. Les échos du bonheur Font tes chants tristes. Autant qu'un repentir... Un repentir...