De ses deux bras tendus Elle fait l'horizon et le ciel Où sa tête en se balançant Fait toute la course du soleil Et d'une épaule à l'autre Moi je sais que c'est elle Oui ce nouveau soleil Moi je sais que c'est elle.
Je ne veux pas te dire Des serment éternels, eternels Les réveils sont cruels Et si l'on me demandait Sur la terre où est mon ciel Ou bien si j'ai de l'amour Comme une vision nouvelle Moi sans vouloir te nommer Notre ciel n'a pas d'oreilles Je leur dirais seulement de toi Je sais que c'est elle, je sais que c'est elle, je sais que c'est elle
Sur ces deux jambes croisées Se déchire un murmure C'est la matière de ces bas Qui se plaint et qui me torture Et d'une cheville à l'autre Moi je sais que c'est elle Cette prison nouvelle Moi je sais que c'est elle...
Je ne veux pas te dire Des serment éternels, eternels Les réveils sont cruels Et si l'on me demandait Sur la terre où est mon ciel Ou bien si j'ai de l'amour Comme une vision nouvelle Moi sans vouloir te nommer Notre ciel n'a pas d'oreilles Je leur dirais seulement de toi Je sais que c'est elle, je sais que c'est elle, je sais que c'est elle
Et de tes deux bras tendus Tu fais l'horizon et le ciel Où ta tête en se balançant Fait toute la course du soleil Moi sans vouloir te montrer Je garde toujours mes merveilles Toute la vie je leur répondrai Je sais que c'est elle
Je ne veux pas te dire Des serment éternels, eternels Les réveils sont cruels Et si l'on me demandait Sur la terre où est mon ciel Ou bien si j'ai de l'amour Comme une vision nouvelle Moi sans vouloir te nommer Notre ciel n'a pas d'oreilles Je leur dirais seulement de toi Je sais que c'est elle, je sais que c'est elle, je sais que c'est elle.