{Refrain:} Tu me fais tourner la tjte, tu me chavires le corps. Avec un peu de tendresse tu me caresses et tu me laisses presqu'entre l'ivresse et la mort. Tu me fais tourner la tjte, tu me chavires le corps. Avec un peu de jeunesse tu me dilaisses et ne me restent que d'itranges rjves quand je dors.
Feux de paille ne seront jamais beaucoup plus clairs. Oy que j'aille, ce ne sera pas tout ` fait l'hiver. Je te porte en mon corps, et toi , de l'arbre mort tu fais l'arbre qui vit et du piano qui dort jaillit la symphonie.
{au Refrain}
Imaginer l'absence difigure ma vie. Apprendre le silence comme une nouvelle vie me ghlerait le corps, le visage et l'esprit. Alors ma symphonie deviendrait requiem en manque de 'je t'aime'.